Jean Michel Jarre au Festival International de Carthage
Un tsunami de bonheur
L’avalanche Jean Michel Jarre a déferlé, lundi dernier, sur la scène du festival de Carthage emportant avec elle, dans la joie et la bonne humeur, un public on ne peut plus conquis.
Installé derrière son clavier ou machine à effets avec ses différents instruments de musique (dont certains sont de sa propre création), le compositeur du célèbre morceau et album de musique électronique «oxygène» (vendu à plus de 18 millions d’exemplaires à travers le monde), accompagné de son groupe (entre autres batterie et claviers), a joué dans un théâtre archicomble devant un public, venu en masse, écouter et voir, in situ, les performances sonores et visuelles qui ont fait la renommée de l’artiste français.
D’innombrables faisceaux lumineux ont jailli, tous azimuts, baignant de leurs couleurs une foule déchaînée qui n’a pas hésité à suivre la cadence, dansant tantôt aux rythmes des ondes musicales ou admirant, tantôt, les fresques de lumières qui prenaient forme devant eux. Connu pour être un pionnier dans son domaine, Jean Michel Jarre, qui a tenu à confirmer la tenue de son concert en Tunisie malgré la conjoncture actuelle, a su réchauffer les cœurs et les esprits avec son concert qui est lui-même une œuvre d’art à grande échelle, alliant son et image. La soirée était tout bonnement magique et l’on a pu, pendant plus d’une heure, respirer une grande bouffée d’oxygène apportée par ses notes électroniques et ses manifestations luminaires.
Trois jours pour installer et mettre au point ce concert et le résultat était à la hauteur de l’effort avec des moments forts, à l’instar de la performance avec la harpe laser, dont les cordes sont des faisceaux de lumières, inventée par l’artiste ou encore quand ce dernier a invité le public à participer au spectacle en illuminant l’espace avec les téléphones portables.
«Je suis heureux d’être parmi vous en ces moments», a-t-il crié drapé des couleurs de la nation avant de nous mener vers sa dernière destination futuriste. Rien de plus exaltant, par ces temps moroses, que de se projeter, le temps d’un concert, dans un futur instantané et féerique fait de lumières et de joie.
Auteur : Meysem Marrouk
15-08-2013
Installé derrière son clavier ou machine à effets avec ses différents instruments de musique (dont certains sont de sa propre création), le compositeur du célèbre morceau et album de musique électronique «oxygène» (vendu à plus de 18 millions d’exemplaires à travers le monde), accompagné de son groupe (entre autres batterie et claviers), a joué dans un théâtre archicomble devant un public, venu en masse, écouter et voir, in situ, les performances sonores et visuelles qui ont fait la renommée de l’artiste français.
D’innombrables faisceaux lumineux ont jailli, tous azimuts, baignant de leurs couleurs une foule déchaînée qui n’a pas hésité à suivre la cadence, dansant tantôt aux rythmes des ondes musicales ou admirant, tantôt, les fresques de lumières qui prenaient forme devant eux. Connu pour être un pionnier dans son domaine, Jean Michel Jarre, qui a tenu à confirmer la tenue de son concert en Tunisie malgré la conjoncture actuelle, a su réchauffer les cœurs et les esprits avec son concert qui est lui-même une œuvre d’art à grande échelle, alliant son et image. La soirée était tout bonnement magique et l’on a pu, pendant plus d’une heure, respirer une grande bouffée d’oxygène apportée par ses notes électroniques et ses manifestations luminaires.
Trois jours pour installer et mettre au point ce concert et le résultat était à la hauteur de l’effort avec des moments forts, à l’instar de la performance avec la harpe laser, dont les cordes sont des faisceaux de lumières, inventée par l’artiste ou encore quand ce dernier a invité le public à participer au spectacle en illuminant l’espace avec les téléphones portables.
«Je suis heureux d’être parmi vous en ces moments», a-t-il crié drapé des couleurs de la nation avant de nous mener vers sa dernière destination futuriste. Rien de plus exaltant, par ces temps moroses, que de se projeter, le temps d’un concert, dans un futur instantané et féerique fait de lumières et de joie.
Auteur : Meysem Marrouk
15-08-2013
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