RED BULL MUSIC ACADEMY PRÉSENTE UNE CONVERSATION AVEC JEAN MICHEL JARRE

Retour sur la carrière de Jean Michel Jarre, le pionnier français des musiques électroniques

Dès qu’on évoque l’influence de la musique électronique française, Jean Michel Jarre se classe invariablement parmi les premiers noms cités. Depuis des décennies, ce producteur présente ses compositions révolutionnaires lors de concerts-événements où il établit et bat ses propres records avec un style impeccable. Des superstars de l’EDM aux DJ techno underground, le paysage actuel de l’électro live prouve que tout le monde doit beaucoup à la vision de Jarre et à sa façon de jouer devant des millions de personnes des albums aussi culte qu’Oxygène et Équinoxe. Aujourd’hui, il continue à inventer de nouvelles approches de la composition et du live électronique grâce à des technologies visuelles en constante évolution. Dans cette conversation spéciale avec Jean Michel Jarre, nous évoquerons sa carrière fascinante, les sons qu’il a inventés et le futur qu’il contribue encore à façonner.

mardi 17 novembre, 12:00 - 14:00

La Gaîté lyrique

3bis Rue Papin, 75003 Paris

Billetterie

La cristallerie Lalique veut rayonner dans le luxe

3 Juin 2012

Des oeuvres exposées au musée Lalique à Wingen-sur-Moder, dans l'est[AFP/Archives]

Restructurée tambour battant depuis 2008, Lalique a renoué avec les profits. Ce fleuron de la cristallerie française, recentré sur ses terres alsaciennes, veut désormais faire rayonner sa griffe dans l'univers du luxe, des bijoux à la décoration d'intérieur.

Respect de la tradition d'un côté, modernisation de l'autre: l'usine historique de Wingen-sur-Moder, dans l'est de la France, tout près de l'Allemagne, d'où sortent chaque année quelque 400.000 pièces estampillées Lalique, incarne la stratégie menée depuis quatre ans par le nouveau propriétaire, le groupe suisse Art et Fragrance.

Dans l'atelier du "verre chaud", des hommes en sueur accomplissent une chorégraphie millimétrée pour actionner à la force des bras les manettes des moules. Au "verre froid", dans une ambiance plus feutrée, des mains expertes taillent, cisèlent, gravent, polissent et satinent le cristal refroidi.
"On peut passer une semaine de travail manuel sur certaines pièces", explique le responsable de la qualité, Olivier Grandval, tout en scrutant les effets de lumière sur des flacons, vases et autres statues, tout juste achevés.

Depuis son arrivée en 2008, le Pdg de Lalique, Silvio Denz, a restructuré en profondeur la cristallerie, n'hésitant pas à fermer dès 2009 un centre logistique en Seine-et-Marne, près de Paris. Les effectifs sont passés de près de 600 à moins de 400 salariés dans le monde.
"Mais je n'ai pas touché aux effectifs de l'usine de Wingen (230 personnes), c'était très important pour moi de garder leur savoir-faire", explique le Suisse, également président du conseil d'administration d'Art et Fragrance.

"Une grande marque Lifestyle"

Lalique a déjà investi plus de 13 millions d'euros, notamment pour améliorer la production. Un nouveau four électrique a été acquis et la logistique a été réinstallée en Alsace. "Aujourd'hui, on a besoin de faire 30% de chiffre d'affaires en moins pour être à l'équilibre", se félicite M. Denz.
Parallèlement, pour trouver de nouveaux débouchés, Lalique a multiplié l'an dernier les ouvertures de boutiques dans de grandes métropoles, en particulier à Hong Kong, Singapour, New Delhi ou encore Dubaï.

Car son chiffre d'affaires dépend encore beaucoup de son principal marché, l'Europe (53% pour Lalique Cristal), devant l'Amérique du Nord (20%). C'est en Asie (18%) et au Proche et Moyen-Orient (7%) que se trouvent les principaux marchés à conquérir.

Les efforts commencent à porter leurs fruits: en 2011, Lalique a enregistré sa deuxième année de bénéfices après dix ans de pertes et des difficultés qui avaient poussé le précédent propriétaire, le groupe Pochet, à s'en séparer. Le chiffre d'affaires a augmenté de près de 25%, à près de 50 millions d'euros, avec des prévisions pour 2012 à la hausse.

Depuis un an, Silvio Denz peut se consacrer pleinement à son grand dessein: faire de Lalique "une grande marque Lifestyle", dont la réputation ne se limiterait plus à celle de son cristal.
Des créateurs de bijoux, des architectes et des décorateurs d'intérieur ont été recrutés et des collections lancées dans chacune de ces branches. "Nous sommes capables aujourd'hui de proposer à un client une maison tout en Lalique", explique le Pdg.

La cristallerie multiplie aussi les partenariats: une enceinte développée avec le musicien Jean-Michel Jarre, à un millier d'exemplaires, un accord avec Bentley pour des voitures de luxe "Bentley by Lalique" ou encore des accords avec les stylos Montblanc.

"On veut aussi travailler avec des artistes contemporains", explique l'entrepreneur. Lalique a ainsi réalisé environ 80 reproductions en cristal d'une sculpture du plasticien français Yves Klein.

Pour ce projet, la cristallerie a renoué avec le procédé de la cire perdue, une technique ancienne, utilisée jadis par René Lalique (1880-1945), qui installa sa verrerie en 1921 à Wingen-sur-Moder.

Le bijoutier, devenu maître verrier, avait connu la célébrité notamment pour ses luxueux flacons de parfum. Mais ce créateur éclectique, qui a marqué le mouvement de l'Art nouveau puis celui de l'Art Déco, a aussi signé des bouchons de radiateurs pour automobiles, ou encore décoré les wagons de l'Orient Express et la salle à manger du paquebot "Normandie".

"Je veux garder l'ADN de René Lalique", insiste M. Denz, pour qui la diversification de Lalique est une sorte de retour aux sources.

Source:  directmatin.fr

"Notre appétit pour le contenu gratuit affame la créativité"

7 Juin 2013

Le musicien Jean-Michel Jarre veut sensibiliser l'opinion au respect du droit d'auteur[(c) Thomas Deron]

Jean-Michel Jarre, plus connu du grand public pour être l’un des pionniers de la musique électronique, a accepté de devenir le président de la Confédération internationale des sociétés d’auteurs et compositeurs (Cisac). Réunis depuis mercredi à Washington, les membres et collaborateurs de l’organisation ont cherché de nouvelles pistes pour garantir aux artistes une rémunération à la hauteur de leurs créations. Selon lui, les nouveaux modes de communication appellent une révolution.

Qu’est-ce que la Cisac ?
La Cisac est la Confédération internationale des sociétés d'auteur compositeurs. Elle représente toutes les sociétés d'Auteurs et de Créateurs (soit près de 260 sociétés) sur les cinq continents, dans tous les répertoires (musique, audiovisuel, poésie, arts graphiques et plastiques…).
C'est une organisation à même de fédérer tous les acteurs des arts du monde entier qui représentent des dizaines de millions d'individus afin qu'ils parlent d'une seule voix. Elle a été créée en 1926 et son siège se trouve en France, à Neuilly-sur-Seine.

Pourquoi avez-vous accepté sa présidence cette semaine à Washington ?
Si j'ai accepté ce rôle à la Cisac, c'est que je pense que les créateurs sont avant tout ceux qui peuvent le mieux contribuer à éclaircir le débat. Etant créateur, j’ai toujours été très sensible à la défense du droit d’auteur.
Il existe une problématique nouvelle entre le droit des créateurs et la propriété intellectuelle d'un côté et les nouveaux acteurs de la diffusion que sont les fournisseurs d'accès internet notamment. La question de la juste rétribution des artistes concerne tous les secteurs des Arts et de la création : la musique, les arts graphiques et numériques, le cinéma, la littérature, les jeux vidéos, le journalisme, etc.

Tous les pays sont-ils concernés ?
Il s’agit d’un enjeu mondial, qui concerne tous les pays des deux hémisphères. C’est pourquoi je me réjouis particulièrement de l’élection à mes côtés de quatre artistes prestigieux et de renommée internationale : la chanteuse et créatrice béninoise Angélique Kidjo, le metteur en scène et cinéaste argentin Marcelo Pineyro, le poète, scénariste et parolier indien Javed Akhtar et le sculpteur sénégalais Ousmane Sow.

Y a-t-il une spécificité française ?
Toutes les sociétés d’auteurs dans le monde doivent évoluer pour se mettre en phase avec les nouveaux enjeux économiques de la création, en particulier face  au monde du numérique. Nous avons la chance en France d’avoir Jean Noel Tronc, actuel directeur général de la Sacem, qui est totalement en phase avec ces nouveaux enjeux, nationaux et internationaux.
Nous partageons la même vision sur le rôle que les créateurs doivent jouer pour reprendre la parole, faire de la pédagogie, et expliquer notre activité très mal connue.

En quoi consistera votre rôle ?
Avec les quatre autres artistes Vice Présidents élus, nous serons les porte-voix et ambassadeurs des millions de créateurs que représente la CISAC dans le monde, pour sensibiliser l’opinion et les pouvoirs publics à la réalité du travail des artistes.
C’est le forum idéal pour s’engager dans la bataille des idées. Notre diversité et notre représentativité en termes culturels, géographiques et dans les Arts différents que nous représentons, nous permettra de défendre ensemble les droits des créateurs et de conduire notre action avec efficacité partout dans le monde.

Pourquoi pensez-vous que ce combat soit vital ?
Parce qu’aujourd’hui, notre appétit insatiable pour le contenu gratuit affame la créativité. La notion de propriété intellectuelle ne se réduit pas à une question de versements de droits d’auteur. Le respect de la création et de la valeur du travail des créateurs est un des piliers de notre société.
D’ailleurs, il ne faut jamais oublier que le droit d’auteur est un apport de la Révolution française et  un droit de l’homme, il figure à l’article 27 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.
Un « smartphone » n’est finalement pas si « smart » sans le travail des créateurs : musiciens photographes peintres, écrivains, cinéastes, journalistes… qui enrichissent notre quotidien et rendent nos téléphones et tablettes plus intelligents.

Source: directmatin.fr/culture

JEAN MICHEL JARRE Z POMOCĄ TRENTA REZNORA, DAVIDA LYNCHA I JOHNA CARPENTERA

11 marca 2014

Jean Michel Jarre pracuje nad nową, zaskakującą płytą.

Do współpracy nad krążkiem zaangażował Trenta Reznora oraz reżyserów-muzyków Davida Lyncha oraz Johna Carpentera. Jak przekonuje ostatni z wymienionych artystów, materiał jest elektroniczny i bardzo klimatyczny, w typie ścieżki dźwiękowej.

Nieoficjalnie mówi się także, iż w nagraniach udział biorą Gary Numan i Vince Clarke.

Szczegóły projektu nie są znane, ale wydawnictwa należy spodziewać się w tym roku.

Dyskografię Jarre'a zamyka "Oxyg?ne: New Master Recording" z 2007 roku.

Reznor z Atticusem Rossem pracują właśnie nad soundtrackiem do nowego thrillera Davida Finchera, "Zaginiona dziewczyna". Ostatnia płyta Reznora nagrana z Nine Inch Nails, "Hesitation Marks", miała premierę we wrześniu 2013 roku.

Ostatnim kinowym projektem Lyncha jest "Inland Empire" z 2007 roku. W lipcu 2013 roku ukazała się jego druga płyta, "The Big Dream".

John Carpenter ma na koncie takie horrorowe klasyki jak "Mgła", "Halloween" czy "Coś". Znany jest też z muzyki, którą tworzy do swoich filmów.

Source: canalplus.pl

Жан Мишель Жарр - Открытие «Галактики»

Жан-Мишель Жарр был и остается значимой фигурой в мире электронной музыки. Многие наверняка помнят его лазерное шоу на Воробьевых горах в 1997 году, посвященное 850-летию Москвы. Тогда был поставлен абсолютный и недосягаемый рекорд, занесенный в Книгу рекордов Гиннесса, — на шоу присутствовало 3,5 миллиона зрителей.

В преддверии Нового года в олимпийской столице Сочи Жан-Мишель Жарр откроет новую «Галактику»! Не пропустите телевизионную версию концерта — только на НТВ!


           


Commercial for the broadcast of the concert from Galactica Olympic, Russia - 20 December 2013 for the opening of the Galactica Olympic shown online - www.ntv.ru 

on 27 December 2013 - 11.10 p.m.

The opening of the socio-cultural center by the legendary Jean-Michel Jarre. Concert "Opening" Galaxy"

20.12.2013 

«Газпром» открыл в олимпийском Сочи новую «Галактику»

Это суперсовременный комплекс, где есть практически все для работы и отдыха: конгресс-холл, 3D-кинотеатры, магазины, рестораны, аквапарк и ледовая арена, которую можно использовать и как концертный зал.

Масштабы объекта и спектр предлагаемых развлечений — космические, под стать названию. Площадь комплекса — около 50 тысяч квадратных метров, общая вместимость — до 4 000 человек, количество посадочных мест в конгресс-холле — более 1000.

Олег Цветков, руководитель центра «Галактика»: «Аналогов подобного комплекса нет ни в России, ни за рубежом. Как правило, все скомплектовано по-другому: за основу берется торговый центр, и уже в нем формируются развлекательные площадки. В „Галактике“ все наоборот: развлекательные направления — приоритет, торговая зона — лишь приложение к ним».

Алексей Миллер, председатель правления ОАО «Газпром»: «Это центр, который функционально очень насыщен. Здесь есть и лед, здесь есть и боулинг, здесь есть и детский аквапарк, здесь есть и интерактивные панели для обучения детей, познавательные интерактивные панели. И, конечно же, задача центра — чтобы гости Олимпиады, гости горно-туристического курорта имели возможность вечером полноценно отдохнуть».

«Галактика» стала финальным аккордом олимпийской программы «Газпрома», в рамках которой были построены несколько крупных объектов: газопровод, горная туристическая деревня и лыжно-биатлонный комплекс.

На открытии общественно-культурного центра выступил легендарный Жан-Мишель Жарр. Концерт «Открытие „Галактики“» НТВ и НТВ.Ru покажут в пятницу, 27 декабря, в 23:10.

The opening of the socio-cultural center by the legendary Jean-Michel Jarre. Concert "Opening" Galaxy "," NTV and NTV.Ru show on Friday, December 27, at 23:10.

Source: www.ntv.ru

Jean Michel Jarre to be featured in a swedish documentary about Music in China

The Swedish Film Database

Director Johan Jonason

Jean Michel Jarre is featured in an upcoming documentary by Johan Jonason about making music in China today.

Johan Jonason leaves Sweden and a Europe in crisis, and heads to Shanghai. His goal is to establish himself as a pop singer in China because that's where the future seems to be.

In Shanghai, Johan meets various people involved in the Chinese music industry - producers, DJs and promoters who give him insights into the new, young and contradictory China.

Conquering China is an emotional and humorous music documentary that examines and problematizes the
paradigm shift taking place in our world right now.

"I wanted to make a personal and exotic documentary about China, exploring the western view of the country as well as the real China itself."

Original title: Conquering China
Director/Screenwriter: Johan Jonason
Participants: Johan Jonason, Jean Michel Jarre, Dave K, Ben Huang, Elvis T, Robert Wells, DJ Ghost
Producer: Anna Byvald
Produced by Silverosa Film in co-production with Film i Väst and SVT, with support from the Swedish Film Institute/Cecilia Lidin
Duration: 80 min
To be released Spring: 2014

                
Source: www.sfi.se

Jean Michel Jarre tchnął w świat muzyki ożywczy powiew (Vinylowe delicje)

05.12.2013

Zbigniew Burda (Fot. Michał Niedbał / Agencja Gazeta)

Ten kompozytor i instrumentalista bedzie bohaterem grudniowych " Vinylowych Delicji " organizowanych przez Zbigniewa Burde . W czwartek 12 Grudnia o godz . 18 w Ośrodku Promocji Kultury " Gaude Mater " ( ul. Dąbrowskiego 1 ) Album zostanie przedstawiony Jégo Pierwszego " Oxygene " . Wstęp Wolny .

Płyta została wydana z 1976 r. we Francji przez firmę fonograficzną Dreyfus. Nagrania Jarre'a, firmowane przez tę wytwórnię, są dopracowane w każdym szczególe. Podczas spotkania wraz z prezentacją płyty winylowej, odtworzone zostaną fragmenty z krążków CD wydanych w 1977 r. "Oxygene" ukazało się także w 2007 r., na 30. rocznicę powstania albumu. Ta ostatnia płyta, remasterowana w amerykańskim studiu firmy Capitol, też pojawi się na grudniowym spotkaniu. Będzie więc możliwość porównania jakości dźwięku i brzmienia z płyty winylowej oraz z nośnika CD.

Jean Michel Jarre jest pionierem jednego z najprężniej rozwijającego się dziś gatunku muzyki elektronicznej. Jego debiut zaskoczył świat nie tylko awangardowymi brzmieniami, ale również sugestywną okładką z obrazem czaszki wyłaniającej się spod wierzchniej warstwy planety Ziemi, tak niszczonej przez zachłanność człowieka.

- Uważny słuchacz zostanie nie tylko zachwycony znakomitą stereofonią i jej efektami, ale usłyszy również krzyk ptaków, uderzenia fal o brzeg morza, wiejący wiatr, nawet odgłosy Kosmosu. Wszystkie te dźwięki Jarre wygenerował na swoich syntezatorach - mówi Burda. - Płyta "Oxygene" tchnęła w świat muzyki ożywczy powiew. Materiał porwał tłumy słuchaczy, a dziś uważany jest za kamień milowy w historii muzyki współczesnej.

Obok pierwszej płyty Jarre'a podczas spotkania zostaną zaprezentowane też inne jego kompozycje z płyt wydanych już w latach następnych. Zostaną odtworzone fragmenty z albumów "Oxygene-New Master Recordind" (2007 r.), "Houston-Lyon en Contert" (1986 r.), "Randez-Vous" (1986 r.), "Zoolook" 1984 r, "Conterrts in China" (1981 r.) oraz "Equinoxe" (1978 r.).

- Tych nagrań będziemy słuchać oczywiście ze znakomitego gramofonu firmy Dr. Feickert Analogue oraz z lampowego przedwzmacniacza lampowego firmy Pro-Ject - dodaje organizator. - Sprzęt zostanie zaprezentowany przez Joannę i Grzegorza Wójtowiczów. Grzegorz Wójtowicz zdradzi nam tajniki techniczne gramofonu, jak również przedwzmacniacza. Oboje od lat z pasją prowadzą swoją firmę, która ma w ofercie ponad 2000 płyt winylowych różnych wykonawców i są w tej dziedzinie autorytetami.

Source:  czestochowa.gazeta.pl

D&AD Silver Award - 1983 (Jean-Michel Jarre 'China Promotion')

D&AD's design awards have enthralled the industry for over half a century. In the third in our series of articles, R/GA's George Prest looks back at some of the winners from the '80s.

 George Prest

Design and Art Direction (D&AD) was founded in 1962 by a group of London-based designers and art directors including David Bailey, Terence Donovan, Alan Fletcher and Colin Forbes (who designed the original D&AD logo). The group was dedicated to celebrating creative communication, rewarding its practitioners, and raising standards across the industry.

Today D&AD has evolved into a major global organisation that exists to promote excellence in design and advertising everywhere through educational programmes and rewarding great work through its annual Yellow Pencil awards. Here D&AD's George Prest (above) recalls some of the most memorable winners in the 1980s...

Maggie, the Falklands war, Afghanistan, Rent-a-Ghost, my mum getting a Mini Metro, Lockerbie, Airwolf, the massive storm, the bombing of Libya, Northern Ireland, Chernobyl, playing Revs on a BBC Micro, Acid House music, drainpipe jeans, Reebok Silver Shadows, skateboarding, Chariots of Fire and Ronald Reagan.

This is some of what I remember of the 1980s, in no particular order and unsure of the significance of any of it. To look at the D&AD winning work from that decade is a kaleidoscopic experience as well. There’s humour and attitude, tradition and change and the conventional and the downright bizarre. I think that the industry looks back at this time as a golden age. Let’s examine the evidence to see if this is a rose-tinted approach.

05. Jean-Michel Jarre 'China Promotion'

So the 1980s were an outstanding decade, classic, peerless and the true foundation of advertising as we know it today? Well, yes but check out this promo for Jean Michel Jarre’s China tour. In contrast to everything above it seems dated and rooted in its time. So '80s, a bit off-beam and culturally naïve, like JMJ himself. This would probably go down well in Dalston today, I think, until the next fad came along.

• Year: 1983
• Award: D&AD Silver Award for the most outstanding Record Promotion
• Client: Francis Dreyfus Music
• Art Director: Kate Hepburn
• Copywriter: Jean-Michel Jarre
• Photographer: Mark Fisher
• Illustrator: Kate Hepburn
• Typographer: Kate Hepburn
• Advertising Manager: Mark Fisher

George Prest is executive creative director at R/GA London and a member of the Board of Trustees at D&AD.

Source: creativebloq

Michel Granger (Paris) - 2007 Interview

magneticfields.dk

French artist Michel Granger is probably best known as the creator of five of Jarre's most fascinating album covers, namely Oxygene, Equinoxe, Rendez Vous, Chronologie and Oxygene 7-13. In December 2007, Magnetic Field editors Signe Zacchi and Henrik Gilvad visited him in his studio and talked to him about his collaborations with Jarre and his other projects.

Magnetic Fields: What are your main sources of inspiration?

Michel Granger: 
I have several, but the Earth has always been one of my main sources of inspiration - I have worked a lot with this theme. Apart from that, I have always found great inspiration when travelling, reading and watching everyday life in the streets - the simple life of normal people. I started using the Earth as a main theme a long time ago. The first drawings were published in the press in 1970.

Painting the Earth actually provided a global aspect to my art. It did not only refer to France, but everyone could relate to this global theme - even Martians. The idea was to show that what occupies us is a global matter and it turned out to be true. A couple of years ago we were told that if something happens with the South Pole, this would influence us all. Even though I am not a scientist it seemed obvious to me that if you have a splinter in your foot, you cannot walk, even if you are a giant.

I believe that whatever happens in, say, South America or Asia also has an impact on us - in an abstract sense, of course. I have worked with the theme of the Earth using the social, humanitarian and the political aspects, which also enabled me to voice my opinion a bit. Primarily, I like to show the life of the ordinary human being in our culture. I use my work to describe the issues and problems we deal with in our part of the world, which are different from those in Asia or Africa and that I am unable to cover through my art.

MF: What is the story about the painting "Oxygene"?
 
MG: The painting originally was a small aquarelle and was shown at one of my first exhibitions in Paris, at a gallery in 1976 - the same year as the release of Jarre's music. The actual painting is from 1973. Charlotte Rampling bought it and gave it to Jarre, who thought it would be ideal as a cover for his album. He came to visit me and that was the start of it all. 

MF: The Oxygene cover is a statement about the environment and how people treat it in a terrible Manner. What options does an artist have to influence the environmental debate? 

MG: In my latest book I wrote: We Should not kill the Earth, because we would not know where to bury it. I believe that an artist can do everything and nothing to influence the debate. Nothing because we - the artists - are impotent, we have no power. Everything because these last couple of years I have realized, when meeting people who worked with ecology - like Cousteau and Yann Arthus-Bertrand - that an artist can express himself in a way That the scientist can not. These people are spokesmen and have a special language That is not necessarily easy to understand, but an artist can express himself in a simpler Manner on the basis of what we learn from the scientists. An artist uses images to express his views, Whereas a scientist works with numbers and calculation. This is where our role is important - through pictures, music, movies, songs, words and literature. 

FM: What means do you think it takes to Encourage normal people and politicians to take part in the debate? 

MG: Information! People, meaning us, are not stupid, but we need the scientists to inform us of the state of the Earth. They can tell us the North Pole is melting, but how do I actually know - I have not been there. 

MF: How did you work with Jean Michel Jarre on the covers of his albums? Did he choose them from already existing paintings or did he order them? 

MG: The first one he chose from an existing painting. The second album cover, Equinoxe, had different titles as Venus and dry Transitor - Jean Michel had a long list of titles and he always come up with new titles - I was a bit lost, though.

Actually, Equinoxe was an already existing painting. We had gone through a whole series of paintings without finding the right one. One day I went to his house and projected it on the wall and Jarre said: this is the one and he was the one who came up with the final title as well. The third one was Rendez Vous which was actually made in two versions. The first one is my version, but Jarre asked me to do a second one, a red version, because the American publisher wanted a different version. I went along with it, but today I think I should not have - I prefer the first version. I reworked it together with the publisher and Jarre approved it. He knows what he wants with his work and is always very clear about it. If he disagrees it is no use arguing with him. Every time I have worked with him, we have spent hours on the phone, back and forth to his home. He calls at night sometimes when we are in the middle of a process.

I have a small anecdote about Rendez Vous that I might have dreamed of, but I do not think so. He called me late at night, around 2 am or 3 am, and left a message saying: there is too much yellow in the drawing you made. I thought about it and realized there was no yellow in the drawing. I thought to myself That he might have some yellow in his music That he could not remove. I did not call him back, since I did not see any yellow in the drawing and we never spoke about it again. I think he was feeling an artistic anguish. But it has always been a pleasure to work with him and I have enjoyed it a lot.

MF: If you could chose to do the cover of an album of any artist, which would you choose?

MG: I definitely prefer World Music. There are lots of artist I would like to work with, such as the Pakistini Nusrat Fateh Ali Khan, Ali Fakar Toure and Soeur Marie Keyrouz, who actually sings religious songs. I do not care that it’s religious, but I have noticed that when I work while listening to it I get more focused in my work. I have been asked by a lot of people who make music in the same style as Jean Michel Jarre to make a cover, but I have always turned down the offers out of respect for Jarre. I would not want my art to cause people to mix-up Jarre's music with other music. I have sometimes made works of art for songs, but always for music that did not resemble that of Jarre. I believe that is a normal thing to do.

MF: What are your current and future projects?

MG: My new book, “Sens Dessus Dessous - Upside Down” has been in the shops for three weeks now. This book is in fact a way to move away from the theme of the Earth. I might start working with it again in three - four years time. Apart from that I have a series of projects involving photos that I have had prepared in large format and then I am making an identical painting that should be placed next to the photo. I have also made a movie that can be viewed


For more information on Michel Granger go to www.granger-michel.com

Source:  magneticfields.dk

» Tsugi » Nº 66 Octobre 2013

 

Source: tsugi.fr

Presse Régionale - Le Progès 15.10.2013

Jean Michel Jarre au Festival Lumière 2013 à Lyon

Source: festival-lumiere.org

Jean Michel Jarre - Forum d'Avignon 2013

"Culture & Power"

Theme of the 2013 Think Tank of the Forum of Avignon,
to fuel discussion at the international meetings from November 21 to 23, 2013

No Politics without Culture!

The program of the 2013 Forum d'Avignon in preview

Olivier Poivre d'Arvor (Director of France Culture) sets the parameters of the session centered aroun three questions: Can the powers of culture be measured? In the name of what endeavor? Economic, diplomatic, political? If culture is a factor of cohesion of certain territories, it is the cause of divisions, competition, and conflicts on others. Does high demand of cultural goods and services dissolve culture? What are the new divisions formed in the cultural sector for better or for worse?

Lawrence Lessig --Harvard Law Professor (USA) --has been an advocate for an internet that liberates culture through "creative commons". Lessig emphasizes the value for universal access to culture. If Internet remains a vehicle for freedom as exhibited by the Arab Spring, Lessig also notes de difficulty in the short term to define its impact on democracy. He uses the American example in which politicians use up to 70% of their time searching for funding in their internet campaign. Internet has taken precedents on interpersonal communication; that being said, in order to be heard one must radicalize one's opinions, often leading to excessive opinions. This explains, for example, the Tea Party's success and the subsequent paralysis of American politics. Can Internet save us? The answer is not evident in the short term given the negative side effects of extremist attitudes on democracies. We might have to rely on a new generation to extricate ourselves from this stifling position.


Jean-Michel Jarre, author and composer, President of CISAC. Jarre recognizes that with regard to intellectual property, artist weren't unable to send a clear message to the public. IP is not only a means of insuring the economic sustainability of creation. A new relationship between contents and containers, software and hardware, must be reinvented. The antagonisms between creative commons and intellectual property might be erased with the establishment of a common platform allowing funding for creators and the diffusion of amateurs' work. The freedom of the latter does not impede on the liberty of the former. We must update the system established in the xviiith century to adapt to contemporary conditions of production and diffusion. We must not stigmatize Internet. Artist have always known how to use this new technologies. Jarre even goes so far as to propose an 'eternal copyright' system that would nourish a fund for creation in emerging countries.

Paul Mashatile, minister of South Africa, reminds us that culture has an essential role in the development of numerous countries. In the case of South Africa, culture facilitates reconciliation and the construction of a nation. Culture must also bring nations together. This is what South Africa names OBOUTU: I exist because you exist, allow me to extend my hand to the other, to accept the difference. Culture is the bridge between men.

Yonfan, film director (China), through the destiny of two female artists --the German filmmaker Leni Riefensthahl and the Chinese actress Yushi Yamagichi (Yoshigo Otaka) --questions how art can influence our lives in some unconscious ways. The star system creates representations that inhabit ourselves for better or for worse.

Bernard Landry (former Prime Minister, University of Quebec and Ecole Polytechnique de Montreal Professor), notes that anti-globalization manifestations, replaced nowadays by alter-globalist ones, show us a different vision of the world. The real danger of globalization is the homogenization that would be a huge step backward. The first value of a country is not its economy but its culture that sacrifices the materialist obsessions in order to admire the reality's beauty. Proposed by Canada, the cultural exception that refuses to see culture as a mere merchandise, remains to be defended; the idea is in the works but must be constantly nourished.

There were many echoes in the room: "defending the cultural exception is not out of date" (Laure Darcos). We should not forget that in many countries some religious powers twist the words to impose a religious culture. In Tunisia, creators and women will avoid democratic regressions. Although, money that a worldwide crowd funding may bring, are needed.

          

Source: forum-avignon
More:   forum-avignon.org/en/exclusive

Electronic maestro keen to tackle "final frontier"

Beatrice Thomas, 
The West Australian  
Updated July 27, 2012,

Electronic maestro Jean Michel Jarre keen to tackle 'final frontier'.

His outdoor lighting and sound extravaganzas have attracted audiences of millions.

When he performed for Prince Albert of Monaco's wedding last year, 3.5 billion people watched on television and the internet.

But Jean Michel Jarre, the famed French composer, performer and music producer, says Perth is his "final frontier".

"I've been a big fan of Australia for a long time," he said yesterday during a whirlwind visit to Perth.

"I fell in love with the place, the environment. It's extraordinary. But the community also, it's very nice and warm people. I said to myself we should really promote this place to the world."

Introduced to Perth by Maryanne Bell, a local entrepreneur and founder of ITM Productions, the 63-year-old pioneer of electronic music is working to bring his big outdoor concert to Perth in March after an initial November date was ruled too ambitious.

With the concert billed to rival the Australia Day Skyworks, Jarre said he also wanted to leave a legacy, including through the global TV audience his concert would attract.

A painter and a keen collector of Aboriginal art, he envisaged it would be a key visual element of the show. And the long-time UNESCO ambassador said he also wanted to incorporate schoolchildren's artwork in the graphics.

"As an outsider and a friend of Australia and a big admirer of Western Australia, I think it's time to put this part of the world . . . on the map," he said.

"There is huge excitement worldwide already about the project."

Jean Michel Jarre concert celebrating the wedding of Prince Albert II of Monaco in July.

The Perth concert would be his first in Australia. Jarre's 1976 album Oxygene featured in the 1981 Australian film Gallipoli.

He also spent a month at Uluru in the 1980s while promoting the album Zoolook, which was influenced by Aboriginal music.

In a week spent working Perth corporate and government circles to shore up backing for the March event, Jarre said he was also excited about his new role, announced yesterday, as one of two new international ambassadors for the Perth Fashion Festival.

 Source: au.news

JEAN MICHEL JARRE / Exclusive Representative for Brazil and South America

          

Jean Michel Jarre - Press Folder  

 

                              

Source: www.2bnm

Le Nouvel Observateur N 2557 – 7 au 13 Novembre 2013

November 7, 2013