"Rosa" from album "Les Granges Brulées" (Bande Originale Du Film) 1973
29/01/2014
26/01/2014
Jean Michel Jarre - NAMM (National Association of Music Merchants) - January 2014
The NAMM Show is the world’s largest trade-only event for the music products industry. It is held once a year, namely every January in Anaheim, California, USA at the Anaheim Convention Center, and is one of the two largest music product trade shows in the world. Its European counterpart is the Musik Messe in Frankfurt.
The 2014 NAMM Show will be held from Thursday, January 23 to Sunday, January 26, 2014.The event attracts numerous famous musicians.
New Theremini from @moogmusicinc |
The
Theremini is a re-imagination of one of the oldest electronic musical
instrument in history, and Bob Moog’s first love – the theremin. Its
design fuses the experience of performing with an instrument you don’t
actually touch, with a powerful sound engine derived from Moog’s award
winning synthesizer, Animoog. The Theremini guarantees immediate success
to any player at any skill level, while providing new ways to
experiment with music, education, and gestural control.
Assistive
pitch correction allows each player to adjust the instruments level of
playing difficulty. At the maximum position, the Theremini will play
every note in a selected scale perfectly, making it impossible
to play a wrong note. As this control is decreased, more expressive
control of pitch becomes possible. When set to minimum, the Theremini
will perform as a traditional theremin with analog heterodyning
oscillator and absolutely no pitch assistance.
A
built in tuner supplies real-time visual feedback of each note as it is
played, as well as its proximity to perfection. This is useful for
correcting a users playing position, or to educate younger players about
pitch and scales.
The presets section allows you
to select from 32 wave or wavetable-based patches, store a selected
scale & root note, set and recall a specified playing range, and
specify per-patch settings for the included stereo delay.
Recessed
in the top of the Theremini is a compact speaker perfect for private
rehearsal and quick setup anywhere. Silent rehearsal is also possible
via front panel headphone jack. Simply plug in ear-buds or headphones
and the built in speaker becomes silent.
For live
performance and gestural control, the rear panel features two line
level audio outputs, a pitch CV output with selectable range, and a mini
USB jack for MIDI I/O and connectivity.
SPECS
FEATURES
• Pitch correction w/ selectable scales and root note
• Built in tuner allows you to learn pitch and scales
• 32 Wavetable based presets
• Built in speaker
• Headphone output
• Two 1/4" audio outputs
• Single Pitch CV output w/ selectable range
• User selectable scale and root note (stored per preset)
• User selectable range: highest note and lowest note (stored per preset)
• Adjustable Stereo Ping-Pong Delay
• Removable pitch antenna - built in storage compartment on bottom-side
• Built in 3/8” Mic stand and Camera stand adaptor
• High quality rubberized feet
FRONT PANEL
LCD SCREEN: 128 X 64 pixel LCD with white backlight.
HEADPHONE JACK: 1/8” (3.5mm) TRS headphone jack. Inserting a headphone plug will disable the internal speaker
VOLUME KNOB: Controls headphone volume and built in speaker volume.
PITCH BIAS KNOB: Determines the amount of pitch correction from 0% to 100%
SCALE BUTTON: Select from a list of built in scales
ROOT BUTTON: Select the root note to be used by the scale
SETUP BUTTON: Provides access the setup and calibration functions - also acts as a shift key.
DELAY LENGTH BUTTON: Selects the length of delay: SHORT, MEDIUM, LONG, or OFF
DELAY AMOUNT KNOB: Controls the amount of delay mixed with the dry signal.
PRESET KNOB: Selects the preset played from a built in list of 32 presets
REAR PANEL
LEFT OUTPUT: Line Level ¼” unbalanced TS
RIGHT OUTPUT:Line Level ¼” unbalanced TS
CV OUTPUT: ¼” TS – 0-5V or 0-10V selectable
USB: MiniB USB2.0 High Speed for USB MIDI
KENSINGTON LOCK SLOT
POWER SWITCH: Push ON / Push OFF
POWER JACK: 12VDC/1.2A from 100–240VAC external supply(included)
DIMENSIONS:22.75”L x 6.5”D x 15”H w/antenna (4”H without)
WEIGHT: 3lbs
$319.00 (OUT OF STOCK)
Authorized Dealers please contact linda@moogmusic.com for preorders.
Authorized distributors please contact mike@moogmusic.com for preorders.
Individuals interested in preordering please email stacey@moogmusic.com
Jean Michel Jarre and Moog Chief Engineer Cyril Lance experiment with the new Theremini prototype. |
Jean Michel Jarre test drives the new Moog Theremini! |
Steve McNally and Jean Michel Jarre The NAMM Show. |
Jean Michel Jarre & Dave Smith hanging out at the The NAMM Show - 2014 |
Jean Michel Jarre i Daniel Troberg w Anaheim Convention Center. |
Photo from:
Moog Music Inc.
keyboardmag.com
NAMM OFFICIAL SITE
25/01/2014
Jean Michel Jarre interview - "Born Designers 2012"
En exclusivité pour le Mag des Cimes, Jean Michel Jarre nous donne ses
impressions à chaud sur le déroulement du défilé de Jean Charles de
Castelbajac durant la deuxième édition du Born Designers à Courchevel.
Jean Michel Jarre et Jean Charles de Castelbajac 2.0 - BORN DESGNERS
From January 25 to 29, 2012 Courchevel, the prominent international ski
resort located in the French Alps, offering the largest skiing area in
the world will host 20 international designers coming to showcase their
unique original work, developed in the purest philosophy of this event:
“Active Luxury Lifestyle“.
Page - 68
Jean Michel Jarre – France – will show his revolutionary speakers system
with exceptional dimensions (3 meters-high for 1058 pound) an
impressive technical credentials. Called the AeroDream, this little gem
of technology can accommodate your iphone, ipod and ipad with a power
output of 10 000 watts!
24/01/2014
Jean Michel Jarre - « Le concept du tout numérique a vécu… »
11 septembre 2012
KR : Qu’est-ce qui a changé pour toi durant ces 25 dernières années, en matière de création musicale et de technologie ?
Jean Michel Jarre : La naissance de Keyboards Magazine correspond à l’entrée du tunnel. En 87, on est au carrefour de toutes les ambiguïtés. On sort tout juste du monde de l’analogique avec la disparition brutale des grands luthiers de l’électronique que sont Moog ou Theremin, pour entrer dans le concept de l’industrialisation de la musique à la japonaise, illustré par les débuts du CD, c’est-à-dire du 78 tours du numérique ! En réalité, la fin des années 80 marque le commencement d’une réduction sonore. On va d’abord tous croire au Graal du digital avant de passer les 20 années suivantes à couper la musique électronique de ses racines… pour s’apercevoir finalement que 90 % des plug-ins actuels ne sont que des émulations de machines hardware analogiques : compresseurs, EQ, synthés ou piano électriques. Michel Geiss avait fait à ce sujet un gag prémonitoire au début de l’ère digitale dans la revue américaine Studio Sound, en inventant le defectron, qui était censé salir le son numérique trop propre. Du côté de la création, les ambiguïtés n’ont pas manqué non plus… à commencer par l’album Switched On Bach de Walter Carlos sorti en 68, qui a fait croire à tout le monde que le synthé n’était qu’une sorte d’appareil cheap, avec de gros boutons et qui imitait les instruments symphoniques. L’approche allemande qui a suivi avec Kraftwerk et Tangerine Dream, a fait l’apologie de la machine dans le genre « le synthé remplace le compositeur et le musicien » et enfin vers la fin des années 80, la musique électronique a été réduite à un support pour le dancefloor. Ces 25 ans resteront donc à mon avis, une période de défrichage accompagnée d’une régression de la qualité du son. Cette perte n’est d’ailleurs pas que d’un point de vue technique. La chaîne hi-fi qui trônait dans nos salons a été abandonnée au profit de petits HP en plastique merdiques autour du laptop et d’un casque qui ne remplace pas la notion de partage. La sensation des ondes qui se déplacent physiquement dans l’air à partir des enceintes jusqu’à nos oreilles, reste indissociable de la façon dont on va réagir émotionnellement à la musique.
Comment vois-tu les 25 prochaines années ?
D’abord, un de mes vœux est d’avoir rapidement un KR sur iPad qui soit une vraie édition multimédia interactive ! Plus sérieusement, je pense que le concept du tout numérique a vécu, parce qu’on est des animaux analogiques et qu’à moins de faire intervenir la bio-génétique, on aura toujours nos oreilles et nos doigts ! On se dirige donc vers un mode hybride entre l’acoustique, l’analogique et le numérique en HD. À la fin du 21e siècle, on percevra certainement le son de nos smartphones et tablettes, comme les équivalents du poste radio à onde courte du siècle dernier.
Peux-tu nous parler de tes projets de concerts et d’albums ?
Pour les concerts, ça va aller vite, parce que j’ai décidé de faire une pause. Je sors de trois années ou j’ai dû faire 240 dates et j’ai vraiment besoin de revenir en studio où il y a plein de maquettes qui m’attendent. J’ai eu une période compliquée récemment, entre la perte de mes parents et celle de mon éditeur Francis Dreyfus, qui était un élément fondateur dans ma vie et ça n’a pas été évident de me concentrer sur la composition et l’écriture. Je dois dire qu’à ce niveau, la scène m’a fait vachement de bien ! Cette année, j’ai deux albums en chantier, entièrement composés de nouveaux titres, dont l’un très perso qui sera une œuvre de longue haleine, à destination d’Internet et réalisée exclusivement en home-studio. Le second est une collaboration avec des gens de la scène électronique d’horizon très diverses, qui devrait voir le jour, j’espère, d’ici la fin de l’année.
Quelle démarche sonore vas-tu suivre pour les compositions ?
Je travaille entre cet endroit et mon home-studio parisien, au départ minimaliste, bien que je ramène chaque jour de plus en plus de matos ! Je suis un peu revenu des plug-ins, car quand on a la chance de disposer d’un Fairlight, c’est quand même dommage d’utiliser son application sur iPad ! Je me sers par contre beaucoup des sampleurs virtuels comme Kontakt, pour échantillonner mes sons analogiques, que je passe ensuite dans différents traitements ou filtres pour les « patiner ». Paradoxalement, dans cette période où les synthétiseurs à transistors analogiques font référence sur le plan de la grosseur du son par rapport à leurs homologues numériques, la puissance et la chaleur des circuits à lampe n’ont encore pas été beaucoup explorées dans le domaine des musiques électroniques. C’est intéressant de voir qu’un certain nombre de jeunes développeurs américains comme Metasonix, reviennent aussi à l’utilisation des filtres à lampes. Pour ma part, j’ai ressorti des vieux orgues comme le Vox Continental des Doors ou le Farfisa Professionnel que j’utilisais avant Oxygen et que je fais passer dans des pédales. Côté synthé, j’utilise bien sûr toujours le VCS 3 d’EMS, l’ARP 2600 et le Moog modulaire ainsi que pas mal de boîtes à rythmes assez obscures que je collectionne, comme les premières Keio Mini Pops de Korg qui possédaient un haut-parleur ou la petite Drummer Boy très rare, que je partage avec Moby. On est sûrement d’ailleurs les deux plus grands obsédés de BAR et il nous est même arrivé d’enchérir simultanément sur ebay pour un même modèle… avant de se calmer ! Je passe aussi beaucoup plus qu’avant mes machines par des amplis, comme des têtes Marshall ou l’Eko qui a un son super et que j’ai fait midifier pour pouvoir le synchroniser avec Pro Tools.
Dans la continuité de cette approche, qu’utilises-tu comme type de système pour le mixage et la production ?
Depuis qu’on a quitté les Neve et les SSL et que le magnéto est devenu un Pro Tools, on n’a plus que des grosses télécommandes en remote. Du coup, quand l’informatique est éteinte, on se retrouve avec des consoles mortes. Après avoir hésité longuement entre les solutions Digidesign très performantes, mais exclusivement dédiées à la DAW, j’ai finalement choisi de privilégier une solution mixte avec la Digico SD7. C’est une console développée au départ pour la scène, dont deux modèles ont été customisés pour U2 et moi, afin de les tester pour attaquer le marché du studio. Elle possède une ergonomie fantastique entre analogique et numérique, avec des vrais préamplis et une connectique MADI offrant un nombre de pistes illimitées, ce qui va me permettre de réutiliser mes racks hardware qui dormaient depuis des années.
C’est donc une double optique de travail entre l’utilisation studio et les préparations pour le live ?
Dans l’électro, les artistes arrivent souvent avec Live, Logic ou Pro Tools et le challenge consiste surtout à modifier des sessions déjà préparées en studio. J’ai déjà donné dans le genre et aujourd’hui, je trouve que si on vient partager un moment sur scène, la notion de live est fondamentale et ce qui fait la fraîcheur d’un groupe de rock, c’est d’être capable d’improviser, changer l’ordre des morceaux, etc. C’est ce que j’ai voulu faire lors des dernières tournées, contre l’avis de ceux qui pensaient que j’étais complètement malade de me balader avec 60 instruments analogiques, des « Moog » qui se désaccordent, etc. Au final, on a eu des galères, mais pas plus qu’un groupe de rock qui pète une corde et ça les gens le sentent, ils applaudissent, ils sont avec toi. Du coup, tu dégages autre chose sur scène, tu te retrouves en prise directe et ça t’évite de faire du « burlingue » avec un set compressé de la même façon d’un bout à l’autre et une dynamique qui n’évolue pas. La musique électronique a besoin aujourd’hui de retrouver une certaine spontanéité et ne plus se baser uniquement sur une répétition de patterns. Dans mes deux futurs projets, il n’y aura d’ailleurs aucun pattern. Si je dois faire intervenir une boîte à rythmes pendant 7 mn, je l’enregistrerai entièrement. On peut regarder des nuages passer pendant des heures, mais si on recopie une séquence de dix secondes de ces mêmes nuages, on décroche au bout de quelques minutes !
Source: kr-homestudio.fr
Photo © François Bouchery
Artiste ayant fait le plus grand nombre de unes de notre magazine, Jean
Michel Jarre a accepté d’être le parrain amical des 25 ans de KR.
L’occasion d’un entretien au long cours sur le passé, le présent… et
l’avenir.
KR : Qu’est-ce qui a changé pour toi durant ces 25 dernières années, en matière de création musicale et de technologie ?
Jean Michel Jarre : La naissance de Keyboards Magazine correspond à l’entrée du tunnel. En 87, on est au carrefour de toutes les ambiguïtés. On sort tout juste du monde de l’analogique avec la disparition brutale des grands luthiers de l’électronique que sont Moog ou Theremin, pour entrer dans le concept de l’industrialisation de la musique à la japonaise, illustré par les débuts du CD, c’est-à-dire du 78 tours du numérique ! En réalité, la fin des années 80 marque le commencement d’une réduction sonore. On va d’abord tous croire au Graal du digital avant de passer les 20 années suivantes à couper la musique électronique de ses racines… pour s’apercevoir finalement que 90 % des plug-ins actuels ne sont que des émulations de machines hardware analogiques : compresseurs, EQ, synthés ou piano électriques. Michel Geiss avait fait à ce sujet un gag prémonitoire au début de l’ère digitale dans la revue américaine Studio Sound, en inventant le defectron, qui était censé salir le son numérique trop propre. Du côté de la création, les ambiguïtés n’ont pas manqué non plus… à commencer par l’album Switched On Bach de Walter Carlos sorti en 68, qui a fait croire à tout le monde que le synthé n’était qu’une sorte d’appareil cheap, avec de gros boutons et qui imitait les instruments symphoniques. L’approche allemande qui a suivi avec Kraftwerk et Tangerine Dream, a fait l’apologie de la machine dans le genre « le synthé remplace le compositeur et le musicien » et enfin vers la fin des années 80, la musique électronique a été réduite à un support pour le dancefloor. Ces 25 ans resteront donc à mon avis, une période de défrichage accompagnée d’une régression de la qualité du son. Cette perte n’est d’ailleurs pas que d’un point de vue technique. La chaîne hi-fi qui trônait dans nos salons a été abandonnée au profit de petits HP en plastique merdiques autour du laptop et d’un casque qui ne remplace pas la notion de partage. La sensation des ondes qui se déplacent physiquement dans l’air à partir des enceintes jusqu’à nos oreilles, reste indissociable de la façon dont on va réagir émotionnellement à la musique.
Comment vois-tu les 25 prochaines années ?
D’abord, un de mes vœux est d’avoir rapidement un KR sur iPad qui soit une vraie édition multimédia interactive ! Plus sérieusement, je pense que le concept du tout numérique a vécu, parce qu’on est des animaux analogiques et qu’à moins de faire intervenir la bio-génétique, on aura toujours nos oreilles et nos doigts ! On se dirige donc vers un mode hybride entre l’acoustique, l’analogique et le numérique en HD. À la fin du 21e siècle, on percevra certainement le son de nos smartphones et tablettes, comme les équivalents du poste radio à onde courte du siècle dernier.
Peux-tu nous parler de tes projets de concerts et d’albums ?
Pour les concerts, ça va aller vite, parce que j’ai décidé de faire une pause. Je sors de trois années ou j’ai dû faire 240 dates et j’ai vraiment besoin de revenir en studio où il y a plein de maquettes qui m’attendent. J’ai eu une période compliquée récemment, entre la perte de mes parents et celle de mon éditeur Francis Dreyfus, qui était un élément fondateur dans ma vie et ça n’a pas été évident de me concentrer sur la composition et l’écriture. Je dois dire qu’à ce niveau, la scène m’a fait vachement de bien ! Cette année, j’ai deux albums en chantier, entièrement composés de nouveaux titres, dont l’un très perso qui sera une œuvre de longue haleine, à destination d’Internet et réalisée exclusivement en home-studio. Le second est une collaboration avec des gens de la scène électronique d’horizon très diverses, qui devrait voir le jour, j’espère, d’ici la fin de l’année.
Quelle démarche sonore vas-tu suivre pour les compositions ?
Je travaille entre cet endroit et mon home-studio parisien, au départ minimaliste, bien que je ramène chaque jour de plus en plus de matos ! Je suis un peu revenu des plug-ins, car quand on a la chance de disposer d’un Fairlight, c’est quand même dommage d’utiliser son application sur iPad ! Je me sers par contre beaucoup des sampleurs virtuels comme Kontakt, pour échantillonner mes sons analogiques, que je passe ensuite dans différents traitements ou filtres pour les « patiner ». Paradoxalement, dans cette période où les synthétiseurs à transistors analogiques font référence sur le plan de la grosseur du son par rapport à leurs homologues numériques, la puissance et la chaleur des circuits à lampe n’ont encore pas été beaucoup explorées dans le domaine des musiques électroniques. C’est intéressant de voir qu’un certain nombre de jeunes développeurs américains comme Metasonix, reviennent aussi à l’utilisation des filtres à lampes. Pour ma part, j’ai ressorti des vieux orgues comme le Vox Continental des Doors ou le Farfisa Professionnel que j’utilisais avant Oxygen et que je fais passer dans des pédales. Côté synthé, j’utilise bien sûr toujours le VCS 3 d’EMS, l’ARP 2600 et le Moog modulaire ainsi que pas mal de boîtes à rythmes assez obscures que je collectionne, comme les premières Keio Mini Pops de Korg qui possédaient un haut-parleur ou la petite Drummer Boy très rare, que je partage avec Moby. On est sûrement d’ailleurs les deux plus grands obsédés de BAR et il nous est même arrivé d’enchérir simultanément sur ebay pour un même modèle… avant de se calmer ! Je passe aussi beaucoup plus qu’avant mes machines par des amplis, comme des têtes Marshall ou l’Eko qui a un son super et que j’ai fait midifier pour pouvoir le synchroniser avec Pro Tools.
Dans la continuité de cette approche, qu’utilises-tu comme type de système pour le mixage et la production ?
Depuis qu’on a quitté les Neve et les SSL et que le magnéto est devenu un Pro Tools, on n’a plus que des grosses télécommandes en remote. Du coup, quand l’informatique est éteinte, on se retrouve avec des consoles mortes. Après avoir hésité longuement entre les solutions Digidesign très performantes, mais exclusivement dédiées à la DAW, j’ai finalement choisi de privilégier une solution mixte avec la Digico SD7. C’est une console développée au départ pour la scène, dont deux modèles ont été customisés pour U2 et moi, afin de les tester pour attaquer le marché du studio. Elle possède une ergonomie fantastique entre analogique et numérique, avec des vrais préamplis et une connectique MADI offrant un nombre de pistes illimitées, ce qui va me permettre de réutiliser mes racks hardware qui dormaient depuis des années.
C’est donc une double optique de travail entre l’utilisation studio et les préparations pour le live ?
Dans l’électro, les artistes arrivent souvent avec Live, Logic ou Pro Tools et le challenge consiste surtout à modifier des sessions déjà préparées en studio. J’ai déjà donné dans le genre et aujourd’hui, je trouve que si on vient partager un moment sur scène, la notion de live est fondamentale et ce qui fait la fraîcheur d’un groupe de rock, c’est d’être capable d’improviser, changer l’ordre des morceaux, etc. C’est ce que j’ai voulu faire lors des dernières tournées, contre l’avis de ceux qui pensaient que j’étais complètement malade de me balader avec 60 instruments analogiques, des « Moog » qui se désaccordent, etc. Au final, on a eu des galères, mais pas plus qu’un groupe de rock qui pète une corde et ça les gens le sentent, ils applaudissent, ils sont avec toi. Du coup, tu dégages autre chose sur scène, tu te retrouves en prise directe et ça t’évite de faire du « burlingue » avec un set compressé de la même façon d’un bout à l’autre et une dynamique qui n’évolue pas. La musique électronique a besoin aujourd’hui de retrouver une certaine spontanéité et ne plus se baser uniquement sur une répétition de patterns. Dans mes deux futurs projets, il n’y aura d’ailleurs aucun pattern. Si je dois faire intervenir une boîte à rythmes pendant 7 mn, je l’enregistrerai entièrement. On peut regarder des nuages passer pendant des heures, mais si on recopie une séquence de dix secondes de ces mêmes nuages, on décroche au bout de quelques minutes !
Source: kr-homestudio.fr
Panique dans l'oreillette : Nathalie Marquay-Pernaut et Jean-Michel Jarre prochains invités de Frédéric Lopez
14/01/2010
Mercredi 27 janvier à 22h55, Frédéric Lopez
vous donne rendez-vous avec un nouveau numéro de Panique dans
l'oreillette dans lequel seront invités le musicien Jean-Michel Jarre et
l'ex Miss France Nathalie Marquay-Pernaut.
Un garçon manqué devenu Miss France et femme d'un grand journaliste face à un éternel ado recordman des plus grands concerts aux quatre coins du monde… C'est ce qui attend Frédéric Lopez mercredi 27 janvier à 22h55 sur France 2.
En effet, le prochain numéro de Panique dans l'oreillette, son émission qui permet de mieux connaître les stars françaises, accueillera comme invités Nathalie Marquay-Pernaut et Jean-Michel Jarre.
Pour aider l'animateur à mieux cerner ses invités et leurs secrets, des proches seront cachés en coulisses.
Autour de Nathalie Marquay-Pernault, Miss France 1987 ayant participé à la Ferme Célébrités 2 et qui s'apprête à monter sur les planches de La Grande Comédie de Paris avec la pièce Un couple parfait… enfin presque, seront présents Jean-Pierre Pernaut, son mari, les comédiens Alil Vardar et Karine Belly, ainsi que ses amis parmi lesquels figure Xavier de Fontenay et sa soeur aînée Myriam Marquay.
Du côté de Jean-Michel Jarre, vous retrouverez son manager Fiona Commins, sa demi-sœur Stéphanie Jarre et des amis, dont le chanteur Patrick Juvet à qui il a écrit la chanson Où sont les femmes.
Des surprises seront au rendez-vous comme à chaque émission. Alors ne manquez pas Panique dans l'oreillette mercredi 27 janvier à 22h55 sur France 2.
Un garçon manqué devenu Miss France et femme d'un grand journaliste face à un éternel ado recordman des plus grands concerts aux quatre coins du monde… C'est ce qui attend Frédéric Lopez mercredi 27 janvier à 22h55 sur France 2.
En effet, le prochain numéro de Panique dans l'oreillette, son émission qui permet de mieux connaître les stars françaises, accueillera comme invités Nathalie Marquay-Pernaut et Jean-Michel Jarre.
Pour aider l'animateur à mieux cerner ses invités et leurs secrets, des proches seront cachés en coulisses.
Autour de Nathalie Marquay-Pernault, Miss France 1987 ayant participé à la Ferme Célébrités 2 et qui s'apprête à monter sur les planches de La Grande Comédie de Paris avec la pièce Un couple parfait… enfin presque, seront présents Jean-Pierre Pernaut, son mari, les comédiens Alil Vardar et Karine Belly, ainsi que ses amis parmi lesquels figure Xavier de Fontenay et sa soeur aînée Myriam Marquay.
Du côté de Jean-Michel Jarre, vous retrouverez son manager Fiona Commins, sa demi-sœur Stéphanie Jarre et des amis, dont le chanteur Patrick Juvet à qui il a écrit la chanson Où sont les femmes.
Des surprises seront au rendez-vous comme à chaque émission. Alors ne manquez pas Panique dans l'oreillette mercredi 27 janvier à 22h55 sur France 2.
22/01/2014
19/01/2014
Marie Claire Maison N 466 - Decembre 2013/Janvier 2014
PAGE 32
RainBow
- High definition sound.
- Unique innovative outstanding design.
- Line in plays CD players or any devices playing music.
- Supports MP3, AAC, WMA, protected AAC, WAV.
- Estimated Launch: November 2013.
FREQUENCY RANGE
- 100Hz to 20kHz +3db
DRIVE UNITS
- 2 X 40 mm
- 1 X 50 mm
AMPLIFIER OUTPUT POWER
- 2 x 5W + passive subwoofer
INPUTS
- 3.5mm mini jack
- mini usb update
MATERIAL & FINISHES
- Direct ABS Injection
COMMENTS
- Built-in Microphone
- 9 colors
- Update through USB
WIRELESS FUNCTIONS
- BLUETOOTH
- A2DP codecs
- NFC technology
Unit Per Master
- 4/8
MASTER SIZE
- D34xW34xH53
Unit Size
- D8xW8xH20
€ 149,00
Maison Française N 586 - Novembre 2013
PAGE 32
AeroTwist
- High definition sound.
- Unique innovative outstanding design.
- Attachable to any bag-strap, bicycle or other.
- Estimated Launch: November 2013.
FREQUENCY RANGE
- 100Hz to 20kHz +3db
DRIVE UNITS
- 4 X 36 mm
AMPLIFIER OUTPUT POWER
- 4 X 4,5 W
INPUTS
- 3.5mm mini jack
- mini usb update
MATERIAL & FINISHES
- ABS Chrome plated
- Painted
COMMENTS
- Built-in Microphone
- 11 colors
- Update through USB
- 10 Hours battery
Maison Française Magazine N 1 - Décembre 2013
PAGE 60 |
AeroBull
- High definition sound.
- iPod / iPhone speaker plays all device equiped with lightning connector.
- Unique innovative outstanding design.
- Line in plays CD players or any devices playing music.
- Supports MP3, AAC, WMA, protected AAC, WAV.
FREQUENCY RANGE
- 50Hz to 20kHz +3db
DRIVE UNITS
- 1×133 mm (5,25 in) bass
- 2×57mm (2,25in) satellite
AMPLIFIER OUTPUT POWER
- 100W RMS @ 1% Total Harmonic
- Mid-tge 2 x 20W; subwoofer 1 x 60W
INPUTS
- Line-in 3.5 mm port
- Line-out 3.5 mm port
- mini usb update
MATERIAL & FINISHES
- ABS Chrome plated
- Painted
COMMENTS
- 3 colors
- IR remote control with backlight
WIRELESS FUNCTIONS
- BLUETOOTH
- APTX and A2DP codecs
- NFC technology
Unit Per Master
- 1
MASTER SIZE
- D84xW59xH83
Unit Size
- D82xW56xH80
Interview with David Perreau, Jarre’s sound engineer (17 January 2014)
- First of all we would to know more about mastering. Related to JEAN MICHEL JARRE, what is exactly your work?
Well, my work is to optimise the sound sedign of the sound mix that did JMJ, to optimise the loudness witch is an very important key, and to increase and optime warmless, deepness on the sound.
- How did you meet JARRE?
I met him just after the mix he did for Geometry of love. After the mix he did, he tried 2 different mastering studios, and he was not happy with the result. Joachim Garraud witch was working with Jean Michel and me told to Jean Michel to call me to do a try:)
- Your collaboration with JEAN MICHEL JARRE began in 20043 with “Geometry of Love”, and a year later in “AERO” with a great mastering of “the first album recorded note by note in 5.1”: “AERO”. Tell us more about this special mastering.
Aero was a big challenge, because JM mixed everything in 5.1, so the challende was to adapt he porcessor we were using for stéreo to 5.1! The processor we were using had an algorythm dedicad for the Jean Michel! I was working with the US Omnia audio company for many years, and we decided to adpat 3 porcessors to mastered 5.1!One year working on that before the validation!
- “Aero” comes in two different sound formats, 2.0 stereo and Dolby 5.1. Did you have to make two different masterings?
Yes the 2.0 was realized with the original Processor with its dedicated algorithm, and the 5.1 with the custum processor that we realized during one year! A new algorithm had been developped too, because loudness and perception in 5.1 for listeners is very different that Stéréo.
- You also made the remastering of the tracks included in “Rarities” compilation. We know this was a hard work, because you used the old original tapes. I mean those tapes were the original masters or the separate tracks of each song?
Separate track, we did a dedicated mastering for each track!
- Some of them are 40 years old. In what conditions were those tapes?
Tapes conditions were good, but because you need to increase a lot of loundness, and because yo want to create someting more “warm” and because the processor chain had a lot of power, denoïsing had been a lot of work:)
- Did you mastered more tracks out of “Rarities” final tracklist?
I don’t remember.
- Which was the most difficult challenge to overcome with the remastering of “Rarities”?
Denoïsing, because it is a big compromise between cancelling hiss, and creating bad artifacts. After this point OK, you can start work be our dedicated and custum processor:)
- Are you mastering the works for Jarre in his Bougival studio? What gear have JMJ for this comminment?
Yes for 5.1 and 2.0, it had been always realized in Bougival. We always work with Jean Michel with the direct multi track output instead of bounce mix. With that we can move some level on some tracks to improve and optimise better the final mastering!
- Did JARRE mentioned any intentions of remastering “Deserted Palace” complete album?
Not yet.
17/01/2014
Interview with Daniéle Feuillerat (2013)
Many thanks to "Fairlight Jarre" for sharing this interview and for agreeing to the publication of this PDF.
Interview with Daniéle Feuillerat: These are words of Danielle Feuillerat, personal assistant for Francis Dreyfus and publishing diriector of the legendary French label for 37 years.
16/01/2014
CISAC Asia-Pacific regional office opens in Beijing
2014-01-16
CISAC, the International Confederation of Authors and Composers Societies, announced at their opening ceremony it has officially opened its new Regional Asia-Pacific office in Beijing on January 15, after successfully gaining the support of Chinese authorities. The office will coordinate the protection and promotion of authors' interests throughout the region.
CISAC Director General, Olivier Hinnewinkle, said, "China is a vibrant artistic market and it is vital to CISAC that the rights of creators, in all repertoires, are recognized and protected in this country and throughout the region. The NCAC is a valuable CISAC partner to have in order to achieve this goal and we truly appreciate the Chinese government's support."
President of CISAC, Jean-Michel Jarre, a veteran musician, was also in attendance. Jarre is often referred to as the "Godfather of Electronic Music" and first visited China in 1981, shortly after the country opened up to the world. Since then, he has maintained close ties with musicians in China, and was pleased to see "China's effort in protecting the rights and interests of artists."
"We are proud to celebrate the opening of our new home in Asia by bringing the creative community to a vibrant Beijing, a city blessed with creators and creativity. Our opening ceremony and the seminar that follows mark the beginning of a new era for us and our 3-million strong creators' community in the region," said Hinnewinkle.
Also in attendance were the Chair of CISAC's Board, Kenth Muldin and the Regional Director for Asia-Pacific, Benjamin Ng. Representatives from China include Yu Sike of NCAC, famous composer Lei Lei and Jinghu performer Fei Yuping, among other renowned Chinese creators.
Source: chinadaily.com
15/01/2014
14/01/2014
Jean Michel Jarre - Happiness is a Sad Song
For a 1969 exposition at the Maison de la Culture (Cultural House) in
Reims, Jarre wrote the five-minute song "Happiness Is a Sad Song".
Released in 2011 on Essentials & Rarities . A real rarity.
Released in 2011 on Essentials & Rarities . A real rarity.